Des textes d'Evelyne Patricia Lokrou écrits pour des concours (extraits)

Publié par Evelyne Patricia Lokrou

Bonjour.

Voici des textes écrits pour des concours ( concours de nouvelles, de théâtre, de conte, de poésie (poèmes)....par moi (Evelyne Patricia Lokrou))

* Je suis lauréate du prix de la Nouvelle, 2ème prix étranger pour "  la fête de l'Igname", du concours de nouvelles, organisé par le cercle de poésie au 4 points cardinaux- section Picardie (France) (2007)💚❤✍😂

 

 

P.s: la vie (une vie) est le trésor le plus important! Imaginez si l'on vous vole votre vie, votre existence, ce souffle précieux ! C'est mal, injuste, cruel et inacceptable!

Encore une fois, non à la VIOLENCE faite aux Femmes, aux filles, aux fillettes, aux garçons, aux enfants, aux hommes, aux HOMMES et plus, aux êtres vivants!!!!!😢

@ tous les droits réservés sur les textes. Merci.

 ©

Ecrire N°006 avec Evelyne Patricia Lokrou De Scient Beatus (Auteur) ( c'est une interview donnée par moi (Evelyne Patricia Lokrou) au magazine écrire. Merci!💚

                                      Le secret

Par Evelyne Patricia Lokrou


Tu es, tu es l’Éden désiré; le vert recherché de l’après-midi d’été; l’image fictive dans le ciel bleu rêvé. Tu es, tu es un paysage généreux; un soleil radieux; un vent silencieux, dans les arbres aux longs cheveux balancés. Tu es, tu es une sage armure; un simple murmure; un chuchotement à l’oreille. Tu es, tu es le cri inquiétant des écureuils, goélands et corneilles. Tu es, tu es une poisse; une bourde; la bombe responsable des ruptures amoureuses, au hasard, lancée.
Tu es, tu es une perle d’eau; les larmes de la fontaine. Tu t’agites avec fureur; tu hurles ton cri plaintif. Tu es, tu es la vague; tu déferles sur les rochers avec peine; Tu es, tu es l’odeur du chlore; le bonheur des enfants dans les piscines; Tu es, tu es leurs yeux admiratifs; l’or dans leur voix enfantines. Tu es, tu es une bague sur une chaîne et un coucher de soleil sur une île rêvée. 
Tu es, tu es la rencontre de deux cœurs; la magie de l’instant présent; le mystère d’une relation sentimentale. Tu es, tu es la chimie de deux corps; une passion chantée dans un chœur; un présent mental. Tu es, tu es une ode silencieuse; une magie; une femme; une naissance. Tu es, tu es l’enfant dans un ventre de femme; une renaissance. Tu es, tu es l’Amour d’une mère.
Tu es, tu es une histoire triste, jamais contée. Tu es, tu es un récit muet; une peur jamais confiée. Tu es, tu es une erreur dans un moment de la vie; un instant intime. Tu es, tu es une peinture abstraite; une émotion cachée. Tu es, tu es un chemin inconnu; un voyage nullement planifié; une quiétude éphémère.
Tu es, tu es la main de l’artiste; un portrait sur le mur d’un inconnu. Tu es, tu es le sourire derrière des pleurs; un chagrin muet. Tu es, tu es la naissance; la vie; la mort. Tu es, tu es l’inexpliqué; un phénomène rare; une apparition inexpliquée; un objet non identifié; un code; un mot d’ordre; un pacte difficile à rompre. Tu es, tu es un drame et une tragédie; une poésie et un mystère.
Tu es un lien, une chaîne lourde, un fardeau; la fin de la liberté; le doute, l’angoisse, la crainte et l’inquiétude; un leurre légitime. Tu es le secret !      

 Fin.

* Désolée pour la disposition du texte ....(Mise en page)

 

@ tous les droits réservés sur le texte. Merci

 

AMNET
Evelyne Patricia LOKROU


C'est étrange ! Pourquoi faut-il être mort pour devenir, aux 
yeux des gens, la personne la plus extraordinaire de la planète 
Terre ? Pourquoi de notre vivant les autres nous traitent-ils 
avec la plus grande des indifférences, s’ils ne sont pas 
méchants ? Et pourquoi dès que l'on est décédé et surtout si 
l'on est le sujet d'un fait divers ou une star décédée, tous se 
souviennent soudainement de votre prénom et parlent de vous
comme si vous étiez des amis ? Est-ce qu’une personne n'a 
de l'intérêt que lorsqu'elle meurt et surtout lorsqu'elle est 
assassinée ? Ma mère me disait souvent : « on ne dit pas du 
mal d'un mort ». Pourquoi ? N'est-ce pas lorsque l'on est vivant 
que les mots nous blessent comme des poignards impossibles 
à ôter ? N'est-ce pas à ce moment-là que les moindres 
blessures deviennent des plaies ouvertes et parfois 
inguérissables ? Est-ce que le fait de mourir nous donne enfin 
le droit à la paix ? Est-ce pour cette raison que l'on dit « repose 
en paix » ? Autrement dit, la vie nous offre le tourment, les 
souffrances intolérables et la mort, l'apaisement tant réclamé 
et tant voulu, est-ce cela ? Comme dit un écrivain célèbre, 
Anna Gavalda, pour ne pas la citer, dans La vie en mieux :
« mais Mathilde...mais c'est magnifique de souffrir quand on 
est en bonne santé. C'est un privilège ! Il n'y a que les morts 
qui ne souffrent plus ! »
Vous vous demandez sans doute pourquoi j'ai ces questions
philosophiques, n’est-ce pas ?

(Voir la suite...)

* désolée pour la disposition ( mise en page)

 

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https://books.google.ca/books?id=YrO_CQAAQBAJ&lpg=PA145&ots=hiTS_TKk0t&dq=evelyne%20patricia%20lokrou&hl=fr&pg=PA131#v=onepage&q=evelyne%20patricia%20lokrou&f=false

* (Ce texte figure dans un livre " le livre qui voulait une maison", un collectif pour les nouvelles  lauréates et les textes retenues pour ce magnifique livre. ) Concours de nouvelles Fondcombe  2015.

Sophie ou mes trois raisons d'espérer

 

Une journée incroyable

Par Evelyne Patricia Lokrou

Comme chaque matin, lorsqu’il allait travailler, il enfila son manteau, sortit en laissant claquer la porte cochère puis se dirigea vers l’arrêt de bus le plus proche. Mais ce jour-là, rien ne paraissait se dérouler comme d'ordinaire. En effet, les choses étaient différentes parce que son réveil était en panne et que lui l'ignorait. Il s'était donc levé du lit trop tard, croyant qu'il avait du temps. Il avait pris un petit déjeuner copieux: des œufs broyés, du jus d'orange, une tranche de pain toasté,  beurré et du brie; un petit café au lait, sucré. Il s'était rasé, parfumé et fait beau en sortant de sa douche. Dehors, il chantait gaiement. Le bus 147 devait déjà attendre les passagers, mais étrangement, pas de signe de lui. Par réflexe, plus que par inquiétude, il consulta sa montre: il était en retard de deux heures. Est-ce que le bijou à son poignet droit indiquait l'heure exacte ? Il en doutait. Il interrogea l'un des rares passants, un garçon d'environ dix ans, qui faisait sûrement l'école buissonnière. Celui-ci était formel, il était bien 10 heures. Jean devait prendre le bus de 8 heures. Il se dit, embarrassé, qu'il se ferait renvoyer de son travail, car il y a deux semaines, il était allé en vacances en Floride et il y avait passé trois semaines. Deux de plus que lui avait autorisé sa patronne, - une femme de quarante-cinq ans, divorcée, sans enfant, toujours aussi belle, mais chiante et autoritaire. Elle lui avait lancé à la figure à son retour: « la prochaine fois que vous me faites ce coup, Jean Leconte, je vous fous à la porte sur-le-champ. Vous avez intérêt à être à l'heure, car même une petite minute de retard et vous êtes renvoyé. Est-ce que c'est clair ? ». «Très clair», avait-il murmuré, comme un enfant qui vient de se faire engueuler». Elle ne plaisantait jamais, aussi se dit-il:« je suis au chômage». En temps normal, la situation l'aurait grandement inquiété voire même terrorisé, mais à cet instant précis, il était étrangement calme. Il décida de monter tout de même dans le prochain autobus et de profiter du paysage. Aussitôt assis à l'arrière, sur son banc préféré, il scruta l'horizon en se disant que la vie était tout de même belle. C'est alors qu'un portail s'ouvrit dans les nuages, sous ses yeux ébahis. Il était impressionné par ce spectacle. Il se demandait si d'autres voyaient ce qui se déroulait. Il regarda à gauche, à droite, devant lui. Aussitôt, le bus s'immobilisa brusquement. Jean faillit tomber. Lui, si «parfait» d'ordinaire, voulut lancer un juron, lorsque l'autobus disparut; le chauffeur et les douze «voyageurs» se métamorphosèrent en de magnifiques goélands qui volèrent au-dessus de la tête d'un Jean qui se dit qu'il était en train de perdre la raison. «Cette fois, je deviens fou.». 
(Voir la suite...)

* Ce texte a été écrit pour un concours de nouvelles et....

 

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Sophie ou mes trois raisons d'espérer

Par Evelyne Patricia Lokrou

 

 Je suis seule dans cette chambre froide d'hôpital. Par la fenêtre, je vois les nuages blancs se déplacer lentement entre les arbres dénudés de cet hiver doux. Je devine le soleil dans le bleu océan du ciel de cet après-midi chaud; l'un des derniers du mois de novembre 2015.Je bouge délicatement mes membres, un après l'autre, sous les couvertures, qui épousent mes formes agréablement, pour m'assurer de bien faire circuler mon sang dans tout mon organisme. - Ce sont les seuls exercices qui vous sont autorisés avant un certain temps, dit le médecin, d'un ton à la fois navré et plein d'espoir, avant d'ajouter:

- Ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Bientôt, vous ne vous souviendrez que du bonheur et du merveilleux cadeau que vous fait la vie.

Quand je pense à ses paroles, je ne peux empêcher les larmes de couler sur mes joues, telles des perles dont on ne voudrait pour rien au monde. Chaque mot est une aiguille qui transperce ma peau sensible.

***

(Voir la suite...)     

* Désolée pour la disposition ( mise en page) du texte.

 

* Écrit pour le concours de nouvelles 48h pour écrire organisé par Edilivre. Fait partie des 500 nouvelles retenues.

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" Vous avez été 2 000 à participer à la 3ème édition de 48 heures pour écrire. Le jury vient de délibérer ! Découvrez donc sans plus attendre les résultats du 1er concours d'écriture francophone : les 3 Grands Prix, le Prix du Public ainsi que le classement des 500 premières nouvelles." Ma nouvelles est la 254e. Ce n'est pas juste un concours, c'est un soutien important! Un appel à garder l"ESPOIR" comme le thème le suggère.........


Une jeune exilée 

Par Evelyne Patricia Lokrou


Je suis une petite fille. Une petite fille comme les autres. Une toute petite fille, dans un pays d'une Culture autre. Je suis une fillette, dans une ville en guerre. Une adorable fillette, sur un point d'une Terre d'où se déchaînent encore les tempêtes sans fin, les hurlements sinistres de la Mort et les menaces cruelles. Je suis une enfant. Une agréable enfant qui traîne sa faim, dans les tristes ruelles chargées de mille ombres et de pierres presque entières.
Je suis perdue dans un monde sombre d'où les étoiles éteintes brillaient intensément jadis telles les lumières éclatantes des images de mon Paradis. Je crie vers vous, mon murmure fou, mon innocente prière, moi, l'exilée à vos frontières.
Je supplie toujours, encore dans mon enfance, une meilleure jeunesse. Je réclame un Bonheur, aux portes des heures, et de douces paroles pleines de votre tendresse transformée en une adresse qui changera le temps, pour longtemps, en un magnifique Espoir. Un Espoir pour un lendemain comme un globe terrestre miniature dans une main confiante à la pensée de demain, trouvé.
Mes larmes tombent comme la pluie. Mes yeux prennent la couleur du sang. Mon coeur, cette douleur à l'agonie, cherche un repos mérité loin des rancoeurs. Et le choeur qui se joint à moi pour chanter la Liberté et la Vie est un frisson comme un songe inespéré.
Le réveil est encore pénible; le coucher un enfer, mais la chance qui pointe au loin m'enchante tant et si bien que je veux crier plus fort ma joie naissante dans ce chaos dont je m'éloigne jour après jour, minute après minute, semaine après semaine, sans sourire.
Je crie à nouveau vers vous, mon murmure fou, mon innocente prière, moi, l'exilée à vos frontières. Je suis une petite fille. Une petite fille comme les autres. Une toute petite fille, dans un pays d'une Culture autre. Je suis une fillette, dans une ville en guerre. Une adorable fillette, sur un point d'une Terre d'où se déchaînent encore les tempêtes sans fin, les hurlements sinistres de la Mort et les menaces cruelles. Je suis une enfant, une jeune exilée. Tout reste à écrire.
Je suis perdue dans un monde sombre d'où les étoiles éteintes brillaient intensément jadis telles les lumières éclatantes des images de mon Paradis. Je crie vers vous, mon murmure fou, mon innocente prière, moi, l'exilée à vos frontières. Moi, l'enfant. Une agréable enfant, dans les tristes ruelles chargées de mille ombres. Je veux chasser toutes ces ombres, échapper aux longues nuits sombres et retrouver les rires.

 

* Le texte a été écrit pour un concours de poésie. Je ne suis toujours pas convaincue du titre. Merci.

 

@ tous les droits réservés sur le texte. Merci.

Une jeune exilée (poème)

Amis pour la vie 
Par Evelyne Patricia Lokrou


Nous étions quatre amis. Nous ne nous quittions jamais. Les autres nous surnommaient, le sourire aux lèvres : les inséparables. Dès que l’on voyait l’un, les autres n’étaient pas loin. Comme les mousquetaires d’Alexandre Dumas, notre cri de ralliement, pas très original, mais vrai, était « Un pour tous et tous pour un». 
Aujourd’hui, nous ne sommes que trois; des Athos, Porthos et Aramis, sans notre d’Artagnan. Assis ensemble sur ce bang, dans ce musée froid et triste, nous pensons à notre ami récemment disparu. C’était un peintre et sa peinture est la seule chose que nous conservons de lui. Mis à part les souvenirs. Pourtant, rien ni personne ne saurait nous prendre ce que nous sommes fondamentalement. Nous étions comme les doigts de la main (sans le pouce bien sûr). Même amputé d’un membre, nous conservons notre complicité et notre profonde et éternelle amitié.
***
(voir la suite...)

* Ce texte a été écrit pour un concours de nouvelle et soumis....

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Le trésor
Par Evelyne Patricia Lokrou

 

Il était une fois, deux jeunes veuves, du même âge, trente-cinq ans. L'une était riche, Aïssa et l'autre pauvre, Aïcha. Elles avaient toutes les deux une fille du même âge, dix ans. La fille de Aïssa, Taïna, était ronde et vilaine de figure; au contraire, la fille de Aïcha, Maïmouna était très belle. Mais, en plus, elle était très serviable, travailleuse et pieuse; qualités que Taïna ne possédait pas.

Un matin, comme tous les matins du monde, Maïmouna alla au puits pour puiser de l'eau. Elle aimait tant la nature et les animaux que chemin faisant, elle s'arrêtait, soit pour les contempler, soit pour libérer un animal prisonnier des griffes dun prédateur ou dun piège. Elle avait une autre qualité, celle d'être toujours joyeuse et pourtant sa mère et elle n'étaient pas gâter par la vie : Le mari de Aïcha, Souma, était mort l'année dernière, attaqué par une lionne, furieuse de le voir approcher trop près de ses petits : C'était lui qui rapportait la nourriture à la maison (il s'occupait du champ de manioc et cueillait des fruits qu'il vendait majoritairement en ville. Cela leur faisait un petit revenu qui leurs permettaient à survivre). À son décès, Maïmouna, alors âgée de sept ans, était très dégourdie. Elle continua à travailler dans le champ et à récolter des fruits; elle était aidée de sa mère, qui se chargeait de les vendre au marché.
Maïmouna donc, de bonne humeur, alla puiser l'eau quotidienne pour la cuisine, car c'était elle qui préparait les repas, balayait leur case et la cour devant; elle lavait aussi les vêtements et les quelques ustensiles qu'elles possédaient.
(voir la suite...)

* Ce texte a été écrit pour un concours et soumis à ....

Désolée, parfois pour les apostrophes...La machine (rire)

 

@ tous les droits réservés sur le texte. Merci.

Le trésor (conte)

Le vieux baobab

Par Evelyne Patricia Lokrou

 

" Avec pour thème « Le Futur », cette 5ème édition du concours « 48h pour écrire » a été une belle réussite. Entre le vendredi 22 et le dimanche 24 septembre 2017, plus de 1200 auteurs ont relevé le challenge d’écrire une nouvelle en 48 heures. Aux côtés des équipes Edilivre, ce sont plus de 600 lecteurs qui ont lu et noté les nouvelles. À présent, il est temps de découvrir le palmarès final :

Découvrez donc sans plus attendre les résultats du 1er concours d'écriture francophone : les 3 Grands Prix, le Prix du Public ainsi que le classement des nouvelles." Ma nouvelles est la 286e : " le vieux baobab ". 

 

Des yeux tristes 

par

Evelyne Patricia Lokrou

 

Des yeux tristes

Dans ses yeux tristes

J'ai lu nos tristes chagrins

Des grains balayés par le vent froid du matin

Dans ses yeux tristes

J'ai vu leurs yeux tristes

Ces yeux attristés

Par des départs précipités

Dans ses yeux tristes

J'ai lu leurs douloureuses pensées

Ces pensées vagabondes

Vagues à l'âme de ceux qui aiment

De ceux qui aiment le monde

 

Sur ses lèvres charnues

J'ai imaginé le doux miel

Ce miel délicat de la Liberté

Une liberté espérée par ces combattantes nues

Ces militantes persévérantes et convaincantes

Ces femmes belles et nues

Dans ces chaudes rues

D'une partie du monde

 

Dans ses yeux tristes

J'ai vu ces femmes courageuses et déterminées

Marchant d'un pas ferme et passionné

Sous le regard compatissant du ciel

Un ciel silencieux et chargé de fierté

 

Sur ses lèvres encore

J'ai deviné un sourire

Un sourire satisfait et fier

Comme une prière posée sur ces corps

Ces corps sacrés et maternels

Montrés pour une victoire éternelle.

Sur ses lèvres

J'ai cru entendre un rire

Le rire de ces femmes

 

Dans ses yeux tristes

J'ai perçu un désir

Un simple désir

Celui de briser les chaînes invisibles

De briser les chaînes visibles

Pour toujours

De nos prisons de chaque jour

Dans ses yeux tristes

J'ai remarqué une larme

La seule arme des mères

Celle de ces mères

Dévouées et aimantes

Celle de ces mères

Braves et charmantes

Ces femmes généreuses

Qui réclament avec passion

Et une foi ardente

Comme une optimiste chanson

Une existence nouvelle

Dans ses yeux tristes

J'ai vu une flamme nouvelle

Une flamme belle

Une lumière vive

Un monde

Un monde prospère

Pour les enfants et les pères

Silencieux pour une journée

Dans ses yeux tristes

J'ai vu ces femmes

J'ai vu ces dames

J'ai vu ces âmes

Battantes nées

Qui avec un esprit ardent

Sont tous les parents

Force vive

De cette Terre

Pour une journée des mères

 

Dans ses yeux tristes

Sur ses lèvres

Ce joli coeur

J'ai lu des phrases brèves

Imprimées dans ma tête pendant des heures

" La VIE ! Je t'aime avec ardeur

Le monde ! Je t'espère sans les peurs et sans les leurres".

Fin

 

* Ce texte a été écrit pour un concours et soumis à ....

@ tous les droits réservés sur le texte. Merci.

 

Evelyne Patricia Lokrou (@ tous les droits réservés sur la photographie. Merci.)

Evelyne Patricia Lokrou (@ tous les droits réservés sur la photographie. Merci.)

Bonjour.

Non à LA VIOL ENCE!  

Non au VIOL!

Non à LA VIOLENCE!

Non aux ABUS!

 Non aux Agressions!

Non aux VIOLENCES!

Non à La Discrimination!

Non à l'Intimidation!

Non aux Enlèvements !

Non à l'Esclavage!

Non au Harcèlement !

Non à l'Apharteid !

Non au RACISME!

Non, Non, Non, Non, Non...!!!!!!!! 😢😢😢

 @ Tous les droits réservés sur les photographies. Merci.

* Une pensée pour les personnes victimes de la haine, de la VIOLENCE ! 😢

Bonjour. Non à LA VIOL ENCE!  Non au VIOL! Non à LA VIOLENCE! Non aux ABUS!  Non aux Agressions! Non aux VIOLENCES! Non à La Discrimination! Non à l'Intimidation! Non aux Enlèvements ! Non à l'Esclavage! Non au Harcèlement ! Non au RACISME! Non, Non, Non, Non, Non...!!!!!!!! 😢😢😢  @ Tous les droits réservés sur les photographies. Merci. Une pensée pour les personnes victimes de la haine, de la VIOLENCE ! 😢
Bonjour. Non à LA VIOL ENCE!  Non au VIOL! Non à LA VIOLENCE! Non aux ABUS!  Non aux Agressions! Non aux VIOLENCES! Non à La Discrimination! Non à l'Intimidation! Non aux Enlèvements ! Non à l'Esclavage! Non au Harcèlement ! Non au RACISME! Non, Non, Non, Non, Non...!!!!!!!! 😢😢😢  @ Tous les droits réservés sur les photographies. Merci. Une pensée pour les personnes victimes de la haine, de la VIOLENCE ! 😢
Bonjour. Non à LA VIOL ENCE!  Non au VIOL! Non à LA VIOLENCE! Non aux ABUS!  Non aux Agressions! Non aux VIOLENCES! Non à La Discrimination! Non à l'Intimidation! Non aux Enlèvements ! Non à l'Esclavage! Non au Harcèlement ! Non au RACISME! Non, Non, Non, Non, Non...!!!!!!!! 😢😢😢  @ Tous les droits réservés sur les photographies. Merci. Une pensée pour les personnes victimes de la haine, de la VIOLENCE ! 😢

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